Avis de lecteurs

A.H. - 23/08/2012 Un moment agréable. Des mots biens choisis, bien placés, un plaisir pour l'esprit.

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Marie - 14/06/2011

Lecture très agréable. Les termes et le style d'écriture utilisés décrivent avec justesse les petits bonheurs de la vie quotidienne. J'ai vraiment lu ce livre avec plaisir !

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Samuel - 14/06/2011

Un livre facile à lire puisque "fragmenté", écrit avec une forme d'humour dérisoire s'appuyant sur la recherche permanente de la précision dans le terme et ses redondances en forme de "clin d'œil". On retrouve facilement des moments vécus parmi la vingtaine de textes qui se rapportent à la vie de tous les jours. À lire comme on compulse un album de photos.

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Dominique  - 14/06/2011

Un subtil mélange de simplicité et de sophistication qui donne à lire la beauté de moments ordinaires. Une écriture vive, recherchée et souvent pleine d’humour. J’ai beaucoup aimé.

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Marie-D. - 14/06/2011

Agréable à lire. On partage avec l'auteur des moments de vie ordinaire qui deviennent exceptionnels sous sa plume. À offrir à des amis.

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Hugues M. - 14/06/2011

Il faut butiner ce livre, en lire un bout quand l'envie vous prend et elle vous reprend souvent. J'ai aimé le mélange de poésie et d'humour grinçant.

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Job - 14/06/2011

En lisant ce livre on a l'impression de vivre soi-même les différentes expériences de l'auteur et cela laisse une sensation agréable. C'est certainement un livre à offrir à des amis.

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J-M B. LA TENTATION DU PYLÔNE - 27/07/2012

J'ai poursuivi la lecture de ce livre malgré un début un peu ardu tant par les mots que par l'histoire, puis conquise par l'évolution du personnage, et des autres acteurs du livre tels Jeanne, Annie, etc.……j'ai lu le reste avec avidité, connaissant la fin que je trouve fort belle et pleine d'espoir….. Bravo !

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Hugues M. - 14/06/2011

Le mélange d'action et d'introspection est un peu déroutant au départ. Cependant, j'ai vite adhéré au texte car les situations et les sentiments décrits sont riches; Le vocabulaire a du caractère, il se libère aussi dans la forme poétique. L'en semble est original.

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M.P. & J. le 26 fév. 2011

“La Vie Fragmentée” nous avait déjà fourni un avant-goût du talent de son auteur. “La Tentation du Pylône” le confirme pleinement.

Une histoire passionnante, riche de réflexions sur notre condition humaine, dépeignant à la fois courage et lâcheté, grandeur et bassesse, amour sincère et haine larvée, avec au centre un personnage attachant qui associe le lecteur à son long cheminement à travers une souffrance à la fois physique et morale qui le ronge de l’intérieur, victime en quelque sorte de l’incompréhension d’un entourage avide de “sécurité” acceptant le “tout sécuritaire” et aussi victime de la bêtise humaine qui ne lui laissera découvrir sa paternité que trop tardivement. Histoire relatant enfin, grâce à deslettres retrouvées, les comportements odieux qui ont suivi la libération de 1944 tant de fois racontés à la fin des repas de famille et qui ont longtemps façonné nos jugements portés sur tel ou tel voisin qui y avait participé, tout ceci dans une atmosphère parfois oppressante qui rappelle que le retour des années noires de la dictature et de la terreur n’est jamais écarté… Bref un livre à lire sans retard.

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R. & M.  27 sept 2011

Il nous faudrait des pages et des pages pour dire tout le bien que l’on pense de ce nouveau roman, sans la moindre lèche: le vocabulaire est d’une telle richesse qu’il faut avoir parfois près de soi, son dico, les vers sont à l’image de l’orfèvre dans son atelier, l’histoire est bien construite et ne vous lâche pas. On est dans l’espace, on est dans le temps, de quoi combler un passionné d’Histoire-Géo. De surcroît, on suit l’auteur à la trace parce qu’on le retrouve comme on le connaît, tout comme ces paysages costarmoricains.

MM.les réalisateurs et scénaristes, vous avez là un superbe sujet et le scénario ne demandera pas beaucoup d’efforts. Une occasion à saisir !

En attendant, lisez-le. Montez à bord de la 4L. Vous allez faire un beau voyage…

D. V.17/12/2012

Une plongée dans l'enfance.

L'intrigue est bien charpentée mais là n'est pas le principal. C'est l'atmosphère dans laquelle l'auteur nous plonge qui est fascinante. Les descriptions sont tellement riches qu'on " voit " les éléments et qu'on ressent les émotions. Pour tenter une comparaison, je dirais que c'est du Simenon égaré dans le monde de l'enfance en milieu rural.

Y.G. - 14/12/2012

Je viens de terminer le livre de Michel, que dire ? Très bien écrit comme les deux précédents. Une histoire qui se lit facilement. Une évocation de l'enfant unique que je soutiens, vivant la même situation. Bravo, à vos lectures !

E. C. - 08/04/2014

Un bon moment dans l'enfance des années 60, descriptions des paysages et des émotions donnant l'impression de vivre les événements avec les protagonistes. Un bel ouvrage à lire absolument.

Chronique littéraire de Jean-François MEUROU

Je vous propose ici, parmi bien d'autres, trois lectures du bel ouvrage de Michel Philippo : Un été au Paradis (éditions Edilivre classique 09/2012, 269 p). La première me ramène à mes lectures d'enfance et d'adolescence. On y découvre alors les insouciantes aventures de jeunes garçons, de bandes de copains heureux de se retrouver pour quelques semaines pendant les grandes vacances ; on y trouve des cabanes secrètes, des courses de vélo, des « guerres des boutons » revisitées, des petits Parisiens, souvent trop pâles et trop fiers, méprisant les petits provinciaux... On y trouve enfin la fraîcheur de l'enfance et des lavoirs, mais aussi parfois la dureté des premiers pas vers le monde des grands.

Il y a là un côté « Noisettes sauvages ». Quelques rayons de soleil et la présence de Gondolo, un personnage original, suffisent à rendre le lecteur heureux. Voici un bon moment de détente, une lecture animée, riche en rebondissements, sentant bon la belle saison, ses couleurs et ses fruits qui arrivent Alors, partons pour la Bourgogne...

Mais une seconde lecture est aussi possible: ce roman n'est pas simplement un bon moment estival, il y a bien autre chose dans ces pages. D'ailleurs, à bien y regarder, la multiplication des événements les relativise un peu. Il faut découvrir un autre message plus profond, plus subtil : le roman est en réalité, à mon sens, L'expression à peine voilée du cruel et perpétuel débat entre le bien et le mal. Qui connaît Michel Philippo ne peut d'ailleurs en rester à la première lecture, fût-elle très agréable; il y a du plus solide sous les poudres des chemins estivaux: il n'existe pas d'été entièrement et naïvement heureux, même dans le monde de l'enfance... Dans ce paradis, on décèle mille nuances de blanc, de gris et de noir; on reconnaît le combat entre la vie et la mort et celui, tout simplement, pour la survie... Gondolo est bon, mais demeure aussi un pauvre garçon qui vit dans une bicoque misérable; les Duroufle accueillent les enfants, oui mais pourquoi ? comment ? Quant à Maurice, laissons le lecteur découvrir par lui-même sa gentillesse... Gelven traîne ses souffrances, et le petit Pierre sa rondeur et sa solitude. On pourrait continuer et creuser ; chaque personnage possède sa part de mystère, d'incertitude ; d'ailleurs la perfection n'existe pas, les chemins pavés de roses et d'aubépines ont aussi leur épines. Tout est dans la nuance, dans la complexité, dans la confrontation entre l'idéal et le réel, l'envie et le possible. Comment, dans cette vie, être assez fort pour s'élancer sur la corde raide et y marcher avec l'assurance d'un équilibriste qui ne tombera jamais ? À cette mesure, toute la richesse du roman apparaît alors : sensibilité, fragilités, doutes, incertitudes, besoin de fonder notre vie sur quelque chose de plus grand que les bons moments passés entre copains, quelque chose qui dépasse les relations familiales, les convenances et même le sermon de monsieur le curé (Bossuet des prairies à côté de la plaque). C'est à une quête intérieure que nous invite Michel Philippo, une quête de l'amour et du beau, et ce beau est aussi rare que les confitures de cerises dégustées à l'âge tendre...

Enfin, pour terminer, une autre lecture s'impose quand on connaît Michel Philippo. Inconsciemment elle relie peut-être les deux premières. Il ne s'agit pas certainement ici d'un clin d'œil de l'auteur à la mode. Alors que les dîners parfaits et presque parfaits saturent nos écrans toujours plus plats et que les chefs étoilés se disputent les plateaux télévisés, c'est à un autre festin que nous invite le roman. Le sucré-salé est ici exceptionnel : goût de vinaigre comme les paroles de madame Duroufle, belles tranches de pain blanc, confiture de cerises et carrés de chocolat noir, sirop d'orgeat de madame Caramel, bouffées d'oignons et de croûtons frits pour les retrouvailles et l'adoption. Chaque repas, chaque casse-croûte, chaque boisson (le lait encore tiède qui vient d'être tiré), chaque aliment porte en lui son message. Quelqu'un a écrit que « les gens blasés n'ont plus d'autres plaisirs que ceux de la bonne chère », ici le mets symbolise et illustre au contraire un sentiment, une attention, un trait de caractère; il est l'étendard de celui qui offre ou qui consomme, son révélateur, et nous dit autant sur les êtres que de longs portraits. On ne sait pas grand chose de la façon dont s'habillent les personnages, mais question repas on est servi : à méditer par les spécialistes...

 

Jean-François Meurou

 

Gazette 2013

Remise du Grand Prix du Roman de l'A.E.B

Présentation du roman par les membres du jury

samedi 23 novembre 2013

Port-Louis (56)

UN ÉTÉ AU PARADIS


Comme à l’accoutumée, Petit Pierre, fils unique d’un libraire, passe ses grandes vacances en famille à Vallan dans une caravane installée en pleine campagne auxerroise.

Le Pré Chauveau, sans eau ni électricité, est une enclave propice au bonheur, à l’aventure, à la liberté. Cependant, l’enfant pressent que l’album-souvenirs de ce nouvel été s’enrichira d’images hors du commun.


Dans la France des années 60, au cœur d’un paysage bien connu de l’auteur qui en restitue l’authentique saveur, chaque détail fait mouche, la mémoire est troublante de sincérité et la nostalgie force le respect.

Sans jamais s’égarer dans les méandres de la digression, Michel Philippo nous entraîne sur des chemins d’ombre et de lumière, au fil d’une écriture poétique qui sert efficacement l’intrigue. À travers deux destins opposés que le hasard réunit le temps d’un été, s’affrontent, sans complaisance ni voyeurisme, douceur et violence, tendresse et cruauté, allégresse et désespoir, rêve et idéal.

Grâce à une plume légère et une fluidité de style, le monde familier de l’enfance, la région et l’époque évoquées acquièrent ici une habile consistance qui captive le lecteur.

Et bien que l’histoire transpire le drame, rien ne pèse dans ce récit mené avec talent.


Petit Pierre traîne sa solitude intérieure comme il trimballe ses rondeurs sous les quolibets des jeunes parisiens en vacances au village, bande rivale douée pour les rosseries adolescentes. Mais son don inné de la vie le mène d’instinct vers les êtres qui débordent de douceur et d’humanité, comme :

Mme Polowzick, cette exilée d’amour et de patrie qui, en mère nourricière et « madone des fourneaux », ne peut s’empêcher d’appâter l’enfant avec ses pâtisseries maison.

Mme Caramel et ses friandises à la saveur rance qui possède une malle aux vieux livres propres à nourrir l’imaginaire du jeune garçon.

Gondolo, le journalier ermite, un marginal qui, malgré son penchant pour la dive bouteille, garde toute sa lucidité et son grand cœur pour dévoiler au bon moment une souveraine complicité.

S’ajoute à cette galerie de personnages secondaires Pascal, le roi du Massey-Ferguson, fils du fermier voisin. Petit Pierre, en cet été particulier, n’est pas peu fier d’être admis dans sa confrérie secrète.


N’est-ce pas là l’été au paradis avec les balades à vélo, les chemins aux herbes folles, les baignades en eau claire, le chapardage innocent de fruits mûris au soleil, les affrontements puérils entre bandes rivales, la découverte d’une cabane que l’œil adulte ne peut dénicher ?

Néanmoins, à Vallan, en cet été 64, ce n’est pas tant la canicule qui embrase l’atmosphère que la cuisante brûlure d’un enfer vécu par un autre garçon : Gelven.

Originaire de Bretagne et du même âge que Petit Pierre, Gelven a perdu ses parents, son frère et la vue dans un tragique accident de la route. Il ne lui reste alors pour tout héritage familial qu’un album-photos, mémoire dévastée d’un paradis perdu.

Gelven se rebelle contre la dure autorité de tutelle et les divers placements dont il est l’objet. Notamment chez les Duroufle, paysans du coin, dont il subit les mauvais traitements. Il n’aura alors d’autre alternative que la fuite éperdue, ce malgré son handicap.

Grièvement blessé à la cuisse, il se réfugie dans l’église. Son évasion aurait pu tourner court si Petit Pierre, faisant fi de ses frayeurs pusillanimes, ne lui avait tendu la main.


Une relation d’intense amitié, scellée par le pacte du sang, défi fraternel « à la vie, à la mort », que rien ni personne ne pourra détruire, leur permet de vaincre les pires menaces.

Déjouant l’attention des gendarmes, des adultes et des autres curieux, usant de fines stratégies pour la survie de son protégé, Petit Pierre surprend par son ingéniosité et sa soudaine maturité. Il grandit dans l’épreuve, tout comme Gelven qui, grâce à l’indéfectible ténacité de son ami, parviendra à triompher de l’horreur. Ensemble ils ont su faire face à l’adversité, ensemble ils renaîtront de leurs maux.


Telle une épreuve initiatique où affleure le paradoxe des sentiments, ce roman optimiste empreint de profondes valeurs humaines, récit tout en délicatesse et subtilité, finit par nous tirer des larmes. Tenus en haleine jusqu’à la dernière page, nous nous prenons à espérer une belle fin, celle qui pourrait prolonger l’été au paradis, notre été.


C’est à une émouvante leçon de vie tout en nuances et sans artifices que nous rendons hommage à travers ce Grand Prix AEB 2013, mais c’est aussi et surtout à une extraordinaire histoire d’amour et d’amitié, de celles qui nous invitent au bonheur retrouvé, une part d’enfance à partager…

Un texte très personnel  - 18 / 09 / 2018

Jacques Le Greneur

 

« Le crépuscule des ronces » n’est pas un drame, encore moins une tragédie. C’est un beau texte sur la richesse des relations humaines. Cette richesse est amplifiée par la marche inexorable vers l’au-delà, ou vers le néant, d’un homme. L’émotion est joliment présente tout au long de cette odyssée que l’on sait dernière. Rien n’est inventé, le narrateur est dans la vie avec ses souvenirs et son présent qui construisent l’homme qu’il est. Avec ses doutes, avec son altruisme, et ses renoncements peut-être.

    Dans le réservoir du stylographe que tu remplis quasi religieusement, il n’y a pas que de l’encre bleutée, il y a de l’humain, beaucoup d’humain. Et avec l’humain l’âme du poète s’y trouve également aspirée. L’homme tire définitivement sa révérence, le poète, lui, ne meurt jamais.

    De ce stylographe sort un style singulier. Aux mots-phrases succèdent des développements poétiques qui donnent au texte un rythme dont on ne se lasse pas. Un peu comme un mouvement marin qui peut passer de la douceur à l’impétuosité. Et puis il y ces mots issus d’une génération antérieure mais qui trouvent toute leur place dans ce temps présent. Il me semble qu’ils sont doués d’une « fonction madeleine ».

    J’en reviens à la couverture —une obsession, décidément— j’aurais bien aimé ces traces de pas évanescents dans le sable humide.

Page 50 :

« Peut-être ne suis-je pas doué pour le bonheur. Tout simplement … »

Et si l’essentiel du livre était là, dans cette remarque presque anodine de celui qui sait sa fin prochaine. Cette réflexion universelle sur le bonheur semble toujours sans issue. Et là, je relis Ch. Baudelaire !

 "Tu as écrit ici un texte très personnel, peut-être même as-tu hésité, voire douté, avant de le rendre public tant tu dévoiles des sentiments qui viennent d’un vécu profond."

Un océan littéraire - 18 / 09 / 2018

Téo Pol

 

En pleine lecture du Crépuscule... un rendez-vous attendu avec hâte, dès que mon emploi du temps l’autorise ! Hâte de retrouver ces personnages, leurs histoires, leur histoire... Et félicité parfaite à plonger dans les délices nacrées de cet océan littéraire !

Je ne suis pas déçu et goûte à te lire une réplétion rare et bienvenue. Merci.

Lisez ce livre comme on lit un poème – 22 sept. 2018

Charles Doursenaud

 

J'ai terminé ton magnifique "Crépuscule des ronces", la gorge nouée, les larmes aux yeux, avec l'envie de crier à tous tes lecteurs potentiels :

 "Lisez ce livre comme on lit un poème, lentement, posément, en savourant le poids de chaque mot, en vous penchant sur leur signification profonde, en vous laissant envahir par les images qu'ils portent en eux. Par pitié, ne le lisez pas comme vous liriez un roman de gare, vous en perdriez toute la substantifique moelle ; vous êtes là dans ce que l'écriture peut porter de plus fort, de plus enrichissant sur la vie et sur vous-mêmes par conséquent. Cette œuvre est un hymne à l'existence, à ses vraies valeurs ; elle est aux antipodes de la superficialité et de la médiocrité qui vous servent trop souvent de ligne de conduite".

J'ai noté dans mon cahier de lecture cette superbe phrase que je porte en moi depuis fort longtemps et que je partage avec Mike, qui l'exprime fort bien :

"L'intelligence de la vie ne peut naître que de la certitude d'une fin annoncée". 

Voilà une pensée que tout le monde devrait méditer (surtout les fanatiques imbéciles qui se croient éternels et qui ne se rendent pas compte que la seule chose qui compte vraiment dans la vie, c'est la vie !)

Merci, Michel, pour ce beau et fort moment littéraire. 

Charles

Une écriture sensible et belle – 27 sept. 2018

Annie R.

 

Je viens d'achever la lecture de ton livre, "Le crépuscule des ronces". Emue. Emue à cause de la proximité physique entre ta Bretagne et la mienne. Emue parce que l'amitié indéfectible est indicible, et pourtant tu lui donnes des mots. Emue à cause de ton écriture sensible et belle sans laquelle  nulle émotion ne jaillirait dans le cœur du lecteur.

Merci

Bien à toi

PS: Durant mes années d'exil picard, j'ai souvent chanté pour moi seule la chanson de Servat "Je dors en Bretagne ce soir"… comme pour conjurer le sort

Une écriture musicale  -  10 oct. 2018

Colette D.

Au départ votre écriture surprend, mais on l'apprivoise très vite. Elle est atypique, il y a des mots là où on ne les attend pas, mais qui sont tellement à leur place. Elle est musicale, c'est le premier adjectif qui m'est venu. Vous jonglez merveilleusement avec les mots.

J'ai aimé ce récit d'une belle amitié, la fin de vie m'a profondément touchée, mon père vit ses derniers jours, mois ? A travers vos mots, j'ai trouvé les miens. […]

J'ai vraiment adoré votre roman, pour l'histoire et pour votre écriture.

Merci de nous donner ces bons moments.